Thursday, January 31, 2008

Un courtier réel, une identité virtuelle sur un réseau social : cinq (vrais) milliards plus tard...

Pendant que l'on cherchait Jérôme Kerviel -souvenez-vous, "le trader qui vaut 5 milliards d'euros de la Société Générale"-, certains ont eu la bonne (?) idée d'aller "interroger" son réseau social sur FaceBook. Le résultat ? Au lendemain de la révélation de "l'affaire", il n'avait plus d'amis ou... presque : treize de ses quatorze "Jerome Kerviel's Friends" qu'affichait encore son profil le 24 janvier au soir se sont évanouis... dans le réel. "Dis-moi qui tu hantes, je te dirais qui tu es", dirait-on, comme dans la "vraie" vie ? A ce propos, on relit avec intérêt Turkle Sherry qui dit que "l'on fait une grosse erreur en parlant de la vie réelle et de la vie virtuelle, comme si l'une était réelle et l'autre pas [...], avant d'ajouter, "Alors que la plupart des personnes semblent vouloir séparer le virtuel du réel, R-V, je ne fais pas cette distinction. Je préfère parler du virtuel et du reste de la vie, R-V, pour éviter d'employer le mot "réel". Je pense que de plus en plus, on ne sent plus le besoin de les opposer de façon si tranchante... "

Mais Jérôme peut se consoler pour ce qui est de son R-V car Sherry affirme que "la communauté ne peut exister avec le transitoire" : il s'est fait des milliers de (nouveaux) amis... virtuels sur la toile et d'autres profils se sont créés avec diverses motivations. Les uns veulent l'aider à collecter les 5 milliards d'euros nécessaires pour rembourser la banque, ou le soutenir afin qu'il "devienne prix Noble d'économie 2008" ; les autres réunis au sein de "Jérôme Kerviel partage" réclament leur part du gâteau. 1513 autres nouveaux amis, organisés en collectif de "Ceux qui recherchent Jérôme Kerviel, l'homme qui vaut 4.9 milliards !!!", sont "prêts à toucher juste 10 % de la somme pour fournir des informations" le concernant...

Distinction du virtuel et du réel, effets identitaires de l'expérience en-ligne, sphère public et sphère privé ? On en parle ici aussi : Des milliers de photos dérobées sur MySpace et diffusées sur Internet. Une vulnérabilité permet aux pirates d'accéder aux clichés privés des membres du site communautaire.

Mais revenons à nos... milliards ! C'est par ici pour partir "A la recherche du courtier de la Société Générale... sur Facebook" et rejoindre «Ceux qui recherchent Jérôme Kerviel, l'homme qui vaut 4.9 milliards !!!»

Monday, January 28, 2008

fichage informatique

Depuis quelques jours et à l'intiative de la Ligue des Droits de l'Homme, une pétition "Nos enfants sont fichés ne nous en fichons pas " contre le fichage "Base élèves" est mise en ligne. Pour signer la pétition , il suffit de la télécharger sur le site de la Ligue des Droits de L'Homme.

"Base élèves" dépend du Ministère de L'Education nationale. C'est un système de gestion de données informatiques concernant les élèves des écoles maternelles et élémentaires. Il est commun aux communes , aux écoles et à l'administration.

Ce fichier contient des données sensibles liées à la protection de la vie privée, dont certains champs peuvent être accessibles aux maires, compte tenu de l'accroissement de leurs prérogatives avec la loi dite "de prévention de la délinquance"

LE QUID V A -T- IL MOURIR ?

Source d'informations, mine d'or et botte secrète des bibliothécaire et des documentalistes avant l'ère de l'internet et des usageS du Web, le Quid, l'encyclopédie (papier) des éditions R. Laffont risque de disparaître du paysage éditorial, faute d'éditeur. En tout cas, son édition 2008 semble compromise.

Si la concurrence de l'internet ne fait plus de doute, les mésententes entre les deux partenaires, que sont d'une part, la Société des encyclopédie Quid, en charge des contenus , et d'autre part, les éditions R. Laffont, chargées de l'édition, de l'impression, et de la promotion de l'ouvrage, ont conduit à la situation actuelle.

Pour tenter de survivre via la manne publicitaire sur le Web, le Quid est en ligne et en accès libre.

Source : Livreshebdo n° 715, 04 janv. 2008

wikipédia et responsabilité pénale

L encyclopédie collaborative Wikipédia, en fait la Wikimédia Fondation, propriétaire de l'encyclopédie en ligne, a été assignée pour la publication d'un article ayant imputé à trois personnes travaillant dans une société de conseils pharmaceutiques certains faits relevant de leur vie privée. Un constat d'huissier avait été dressé le 24/09/ 2007, et une mise en demeure adressée par courriel à la Wikimédia Fondation, hébergeur des sites Wikipédia afin de retirer l'article litigieux. L'article n'a pas été ôté, malgré la procédure décrite sur le site. Et les mises en demeure sont restées vaines.
Se fondant sur leur droit au respect de la vie privée (artcle 9 du code civil), et sur la diffamation (l'article incriminé faisant allusion à des orientations homosexuelles), les demandeurs assignaient donc wikimédia et wikipédia.
Le juge des référés saisi le 29 octobre 2007, a rappelé les dispositions de l'article 6.1.2 de la loi du 21 juin 2004 sur la confiance dans l'économie numérique: " les prestataires d'hébergement ne sont tenus d'une obligation générale de surveiller les informations stockées, ni de rechercher des faits ou circonstances révélant des activités illicites".

La loi prévoit en effet que les prestataire d'hébergement ne peuvent voir engagée leur responsabilité que s'il est démontré qu'ils avaient une connaissance effective du caractère illicite des contenus et qu'ils n'ont pas agit promptement pour les supprimer.

Les juristes estiment que le juge de référés a pris sa décision à tort. Mais les hébergeurs restent dans le collimateur de la justice. Source: Livreshebdo n° 715, 24 janv. 2008

logiciel anti plagiat

Un article du journal Le Monde, du vendredi 25 janvier 2008, révèle les résultats d'une enquête parue dans la revue scientifique Nature, le 24 janvier, à propos du plagiat (en droit, il s'agit de la contrefaçon), commis par les chercheurs du monde entier et de toutes disciplines.

Deux chercheurs du Southwestern Medical Center de l'Université du Texas, Mounir Errami et Harrold Garner, ont travaillé sur la base de données médicale Médline, dans laquelle sont indexés plus de 17 millions d'articles scientifiques publiés dans 5000 revues de 80 pays environ.

Ils ont utilisés un moteur de recherche eTBLAST, capable de répérer des" similitudes". En se focalisant sur les 7 millions d'articles les plus cités, écrit Le Monde, ils ont repéré un peu plus de 70 000 cas de haute ressemblance.

Il n'est pas facile de prouver juridiquement le plagiat. La tentation est grande parfois de recopier les écrits de qui a parfaitement écrit ce que nous ne parvenons pas à mieux formuler..

Friday, January 25, 2008

sciences cognitives

Qu'est ce que les sciences cognitives? Qu'ont elles à voir avec les Sciences de l'information, (SIC) ? Qu'est ce que la perception? Qu'est ce que la mémoire ? Que 'est ce que l'apprentissage? Qu'est ce que la connaissance ? et comment connaît-on? Pourquoi distingue t-on : connaissance déclarative (emprunter un livre à la bibliothèque) et connaissance procédurale (Comment on fait?) ?

C'est à ces questions que tentent de répondre le livre de Claire DENECKER , Elisabeth KOLMAYER, Eléments de psychologie cognitive pour les sciences de l'information . Villeurbanne: Presses de l'Enssib, 2006. 334 p. 5Les cahiers de l'Enssib; 4) ISBN 978-2-910227-65-4


Le cognitivisme a l'avantage d'analyser l'activité mentale et non plus le comportement. Il aborde la fameuse "boîte noire" de notre pensée que les comportementaliste ne voulaient ouvrir.

Cet ouvrage qui présente une synthèse des problématique cognitivistes est une bonne entrée en matière pour qui veut ou veut en connaître.

Zotero, EndNote Zotero ?

EndNote, un outil "indispensable", comme nous l'a expliqué Bernhard, permet de gérer des fichiers de références bibliographiques en local afin de pouvoir soit, les (re)utiliser pour les insérer sous forme de citations temporaires dans le corps d’un texte (rapport, mémoire, article, etc) soit, générer une bibliographie à exploiter dans le cadre d'un article ou d'un Mémoire. Il peut importer des références depuis un site Internet ou une base de données distantes mais, EndNote est payant.

Zotero qui "fait pratiquement la même chose ou presque" est gratuit. C' est (aussi) un outil de gestion bibliographique qui se présente sous la forme d'une extension FireFox 2.xx qui a ete développée par le "Center for History and New Media" de l'Université de Mason aux Etats Unis. Zotero permet non seulement de générer à la volée des références et notices bibliographiques lors de la consultation d'un site Web (que l'on pourra compléter, hierarchiser et retrouver facilement), mais aussi de reconnaître et récupérer les métadonnées bibliographiques intégrées dans des pages Web.

Il est possible de copier/coller une portion d'un texte depuis une page ou d'enregister l'intégralité de la page Web avec son URL associée sous forme de fiche dont on pourra éditer et compléter manuellement avec d'autres renseignements et/ou l'enrichir d'une prise de notes. Son format de catalogage et d'import/d'export est compatible avec les logiciels de bibliographie dont... EndNote ! Véritable passerelle, il peut être interfacé avec Microsoft Office Word ou OpenOffice.

Un tutoriel, in French please, se trouve sur le site de Ciera. Et quelques explications en ligne sur le site de l'EHESS.

En savoir un peu plus ?
Zotero, outil de gestion de bibliographie open source en ligne et hors ligne, s’ouvre à la documentation juridique.
Intégration de Zotero.

INDYMEDIA

Indymedia (Imc paris), Imc pour Independant media center, est un média alternatif sous forme de réseau de collectifs indépendants dont l'objectif déclaré est d'assurer à tous , la liberté de créer et de diffuser de l'information en Open publishing, avec une modération à posteriori, et politiquement situé dans la mouvance altermondialiste et/ ou la nébuleuse libertaire.

Indymedia a été créé en 1999 par divers organismes indépendants pour couvrir les manifestations de Seattle (E.U.), lors des réunions de l'OMC et du FMI.

Trois objectifs animent les concepteurs de ce réseau:
1 mettre à la disposition des militants altermondialisation un support de diffusion d'information
2 donner des outils de communication et de coordination
3 proposer une source d'information alternative à celle des média commerciaux appartenant aux mutinationales.

Les sites Indymedia par leur activités politiques déplaisent aux autorités et font l'objet d'une surveillance constante.
En 2004, le serveur de Londres a été ainsi, par exemple, obligé, suite à "un accord de coopération policière" entre le gouvernement britannique et le FBI (américain), de livrer aux services secrets américains le disque dur qui hébergeait plusieurs sites d'indymedia, à cause, semble t-il, de la pubication sur le site Indymedia nantes de la photo de deux membres dela police secrète suisse qui tentaient d'infiltrer une manifestation (source Indymedia).
Ces sites connaissent des attaques et des provocations récurrentes de l'extême-droite. Le conflit israélo-palestinien en est une incessante pomme de discordes et de polémiques interminables.

A noter que le site Indymedia IMC Paris, propose un calendrier des activités et manifestations qui ont lieu een France et dans le monde. (Actuellement, le site défend la lutte des sans papier. Il informe sur les rafles policières d'êtres humains qui ont lieu en Ile de France, dans une indifférence quasi générale).

On peut consulter la Charte du collectif sur le site parisien et les dernières décision dudit collectif.

Tuesday, January 22, 2008

InternetActu.net

Lors de la recherche sur mon sujet le Web sémantique(les ontologies),j'ai trouvé un site qui est intéressant pour chercher des informations d'actualités.
InternetActu.net est un site d’actualité consacré aux enjeux de l’internet, aux usages innovants qu’il permet et aux recherches qui en découlent:http://www.internetactu.net/.

La CNIL s'inquiète de Facebook et des autres réseaux sociaux

La CNIL s'inquiète de Facebook et des autres réseaux sociaux
Par Marc Rees
Le succès galopant des réseaux sociétés sur le net génère un autre risque : la démultiplication des atteintes potentielles au respect des données personnelles. Ces réseaux, explique la CNIL, « offrent des services innovants, et généralement gratuits, souvent en contrepartie d’une utilisation commerciale de vos données personnelles. Une fois en ligne, les informations vous concernant sont plus ou moins largement diffusées, indexées et analysées. La vigilance s’impose »
La Commission indique ainsi avoir rencontré à l’automne dernier des représentants de Facebook pour évaluer les risques qu’un tel service peut comporter au regard de la protection des données. Il faut croire que la première rencontre a été d’un intérêt très relatif puisque la CNIL a adressé voilà peu un courrier au site pour que soient fournies des informations complémentaires sur les fichiers mis en œuvre sur les données personnelles des membres de Facebook, les adresses IP traitées, les adresses de courrier électronique des personnes invitées par un membre.
Autre couche de contrôles, l’autorité en charge des libertés individuelles dans ce monde numérique a demandé des informations sur les liaisons intimes entre profils des membres et publicités ciblées. « Les personnes concernées doivent être informées de la finalité des fichiers, des destinataires des données et de l’existence d’un droit d’accès et de rectification » a rappelé encore la CNIL, à FaceBook.
Le principal message préventif s’adresse en réalité à l’internaute à qui est demandée une grande vigilance face à ces outils dont les paramétrages par défaut peuvent laisser fuiter nombre d’informations. « L’utilisateur n’est donc pas toujours conscient qu’en dévoilant des données sur sa vie privée, ses habitudes de vie, ses loisirs, voire ses opinions politiques ou religieuses, il permet aux sites de se constituer de formidables gisements de données susceptibles ainsi de provoquer de multiples sollicitations commerciales »
L’internaute doit enfin craindre un effet boomerang lorsque sa réputation peut être mise en cause dans sa sphère privée ou professionnelle du fait de ces transmissions. Un message qui ne concerne pas seulement les champions de natation.

Monday, January 21, 2008

GUIDE DE RECHERCHE D'INFORMATION

Il y a peu encore, avant l'explosion internet, les professionnels de l'information, documentalistes, bibliothécaires, considéraient qu'ils ne devaient pas révéler au ( grand) public, leurs sources d'information et de documentation, afin d'espérer garder peut-être prestige et considération auprès de ce même public.
Aujourd'hui, alors que tout le monde lance à la volée ses mots clé sur le web, les choses ont bien changé. Mais tous, professionnels de l'information comme profanes, à cause sans doute de l'explosion informationnelle incessante à laquelle nous assistons, se trouvent dépassés parfois par la masse considérable d'information qui circulent sur le net. C'est pour quoi, j'aimerais faire part , pour ceux qui ne la connaîtrait pas de la seconde édition de l'ouvrage remarquable de Véronique Mesguisch et Armelle Thomas, Net Recherche: le guide pratique pour mieux trouver l'information utile, Paris: ADBS, 2007. 159 p . ISBN 978-2-84365-093-2.

En effet ce livre rédigé par deux documentalistes chevronnées, "a pour objectif d'offrir à toutes personnes amenées à effectuer des recherche sur internet un panorama des outils et des méthodes existant à ce jour".
Cet ouvrage est composé de sept chapitres dont le 5 ém a pour intitulé:" Des méthodes de recherche Web 2.0?"
Enfin, une "boite à outils"fiches pratiques questions réponses, entend donner des trucs et astuces (savoir-faire opérationnels) pour naviguer à bon escient.

in extenso.org: moteur de recherche sélectif

In extenso .org est un moteur de recherche sélectif, car spécialisé en sciences humaines et sociales.

Face aux moteurs généraliste, Google , Yahoo, dont les requêtes génèrent un grand nombre de pages web (bruit), ce moteur indexe une partie seulement des pages web. Selon les concepteurs, revue.org, ce moteur donne accès à une vingtaine de de dépôts de documents scientifiques, OAI, ( open archives initiative), soit 120 000 documents, ce qui à premère vue, peut paraître bien peu.

In extenso.org indexe également le contenu de 2 000 sites dévolues aux Science humaine et sociales.

Il autorise un recherche par titre, auteur, et résumé.

Ce moteur intéressera tous ceux qui , étudiants, profeseurs, curieux, journalistes ont des besoin d'informations pertinentes et fiables

Saturday, January 19, 2008

Rencontre avec Robin Harper, développeuse de Second Life

Une relation de confiance”
Rencontre avec Robin Harper, développeuse de Second Life



Les femmes passent plus de temps sur Second Life que les hommes.

Secondlife.com a lancé la mode des avatars et, par l’occasion, l’opportunité de se refaire une vie. Robin Harper, vice-présidente de Linden Lab, développeuse de Second Life, en dit plus sur les nouvelles mesures de sécurité.
En quoi consiste le nouveau filtre mis en place dans l’univers de Second Life?
C’est un système qui consiste à vérifier l’âge des personnes souhaitant visiter un espace proposant du contenu pour adultes. Il s’agit notamment d’informations sur le nom, l’âge et le domicile qui sont transmis pour vérification et que nous ne conservons pas. Le processus ne prend qu’une à deux minutes.
Quel type de pressions avez-vous reçues concernant la question des mineurs?
Avant même le procès que nous a intenté l’association Familles de France (et que nous avons gagné), nous travaillions sur ce nouveau système. Ce sont les utilisateurs eux-mêmes qui demandent à pouvoir donner des éléments de preuve sur leur identité dans le but de bâtir une relation de confiance. A terme, on pourra, si on le souhaite, prouver qu’on est bien une femme, un employé d’IBM, etc.
Comment vérifiez-vous que le contenu pour adultes d’un espace a bien été référencé par son créateur?
Nous avons une équipe d’au moins six personnes qui étudient les récriminations des utilisateurs invités à nous faire part de tout dysfonctionnement. Nous recevons chaque semaine plusieurs milliers de plaintes qui, pour la plupart, se résument à des querelles de voisinage tout à fait banales.
Que pensez-vous de l’histoire de cet utilisateur virtuellement bigame qui s’est créé une vie d’homme marié sur Second Life?
Les hommes n’ont pas attendu Second Life pour mener des doubles vies ! Et, soit dit en passant, le journaliste qui a relaté cette histoire est un free-lance qui écrit habituellement dans des publications religieuses.
Quel est le profil de l’utilisateur de Second Life?
Les hommes sont plus nombreux que les femmes mais ces dernières passent plus de temps sur le site. La moyenne d’âge est de 32 ans. Nous évaluons à 10% la part de ceux qui consultent des contenus pour adultes. Les utilisateurs français représentent 7% du total des utlisateurs.
Quels sont les développements prévus?
Nous avons l’intention d’améliorer la dimension graphique, notamment au niveau des nuages, du ciel, de la lumière. L’interface devrait être plus facile d’utilisation. Et nous cherchons à élargir le marché. En ce moment, nous observons une forte progression de la communauté asiatique et du Brésil.

Apple affine ses portables

Lors du Mac World de San Francisco, la marque a présenté son nouvel ordinateur portable, de moins de 2 centimètres d’épaisseur. Le point sur toutes les nouveautés...

1,36 kilos, de 0,4 à l’avant à 1,94 centimètres d’épaisseur à l’arrière… Le MacBook Air fait dans l’ultra-plat. Celui qui a fait saliver et fantasmer des milliers d’internautes, pendant des mois, a enfin fait son apparition, lors de la présentation de Steve Jobs, au Mac World. L’objet est prometteur : en plus de sa taille réduite, le MacBook Air possède un écran de 33,8 centimètres de diagonale. Ecran LED, qui lui permet de consommer a priori moins d’énergie et donc d’augmenter la longévité de la batterie (5 heures d’autonomie).

l'Eee-PC d'Asus, sera proposé au prix de 199 euros

SFR lance l'Internet illimité avec ultra-portable
SFR décline à l'ordinateur portable ce qu'il proposait jusque-là avec les téléphones mobiles. Le deuxième opérateur français a annoncé ce jeudi le lancement de son offre associant ordinateur ultra compact et Internet mobile illimité. L'appareil, en l'occurrence l'Eee-PC d'Asus, sera proposé au prix de 199 euros, tandis que le forfait Internet illimité sera facturé 29,90 euros par mois pour les 10.000 premières souscriptions avant le 11 mars 2008.
Le forfait sera ensuite proposé à 59 euros par mois pour un engagement de 24 mois, ou de 64 euros pour un engagement sur 12 mois. Il inclue le surf illimité via la clé Internet 3G+ SFR.L'Eee-PC d'Asus est un ultra-compact de 920 grammes disposant d'une autonomie de 3 heures et doté de connectivités Wi-Fi. Il embarque une mémoire de 4 Go extensible par carte SD.

SFR VEND l’EEE 199 AVEC

L'ordinateur 2.0 à moins de 300 euros
Pas cher, ultra mobile et misant sur les logiciels libres, l’Eee d’Asustek ouvre une nouvelle ère sur le marché des ordinateurs.


Evaluation Metro

A l'occasion du lancement de l'Eee en France, l'opérateur mobile SFR fait une offre couplée. L'ordinateur revient à 199 euros (un coupon de 100€ de remise est offert) à condition de l'accompagner d'un abonnement de 12 ou 24 mois incluant un forfait Internet illimité 3G+ (29,90€ pour 24 mois ou 34,90€ pour 12 mois). Il suffira de brancher à l'ordinateur une clé 3G+ SFR pour pouvoir surfer sur Internet en situation nomade. En pratique, l'offre illimitée de SFR est... très limitée. Au delà de 1 Go par mois de données téléchargées, le débit se chute de 3,6 Mbps à 128 Kbps.
Cette offre est disponible du 23 janvier au 11 mars.

Un PC à moins de 300 euros, c'est une gageure. L'Eee d'Asustek est un pari réussi. D’emblée, sa taille mini et ses couleurs pastels dénotent. L'Eee d'Asustek sort des habituelles mensurations des ordinateurs portables. Tout petit (presque la moitié d'une feuille A4) et très léger (moins d'un kilo), il peut s'emporter partout. Vendu d'une petite housse de protection, il est suffisamment robuste pour être emporté tel quel, glissé dans un sac à main ou un sac à dos.
Logiciels libresEt à l'intérieur ? Point de Windows. Pour proposer un prix aussi compétitif, il n'y avait pas de mystère, Asustek devait s'affranchir de l'environnement coûteux de Microsoft. Le constructeur a opté pour un environnement gratuit et ouvert à tous, une variante de Linux du nom de Xandros. Le bureau propose un accès à une série de fonctions simples et qui remplissent toutes les fonctions de base (navigateur Internet, éditeur de texte, lecteur multimédia, jeux…) mais l'utilisateur pourra être surpris de prime abord par les icônes qui sont d'apparence assez proches de jeux d'enfants. Apparence seulement car tous les logiciels installés - qui sont eux aussi dits "libres" et quasi gratuits - remplissent parfaitement leur rôle.
Mémoire flashLe deuxième critère pour proposer un ordinateur aussi peu cher, c'est le stockage. Proposer un disque dur de plus de 100 Go a un prix. Asustek a donc opté pour une mémoire réduite au minimum (4 Go) mais s'est tourné vers une nouvelle technologie : la mémoire flash. Ce système confère une grande rapidité. Selon nos tests, l'Eee démarre en moins de 25 secondes quand il faut attendre parfois plusieurs minutes avant de réellement pouvoir utiliser un ordinateur sous Windows XP ou Vista, le temps que toutes les applications de démarrage se lancent.
Reste qu'avec un total de 4 Go (dont une partie est déjà utilisée pour stocker l'environnement et les logiciels préinstallés), il reste peu de marge de stockage. Asustek a clairement fait le choix de laisser aux utilisateurs la liberté de s'équiper en clés USB ou en cartes SD dont la capacité peut aujourd'hui atteindre les 8 ou 16 Go à des tarifs de plus en plus abordables. Bonne connectiqueSa taille réduite n'empêche cependant pas une bonne connectique. Equipé du Wi-Fi, l'Eee comporte 3 ports USB 2.0, un lecteur de carte mémoire SD, un port Ethernet et une sortie VGA pour le relier à un écran d'ordinateur ou à une télévision. Qui plus est, il dispose d'une webcam intégré juste au-dessus de l'écran. Asustek n'a donc pas sacrifié la connectique au prix et c'est tant mieux.
Quelques bémolsMais l’EEE a aussi quelques inconvénients : de par sa taille, les touches du clavier sont réellement très petites et il faudra un certain temps d'adaptation avant de ne plus percuter une touche à la place d'une autre. La finesse de l'appareil fait également que la coque a tendance à chauffer au bout d'un certain temps d'utilisation, notamment quand le Wi-FI est allumé ou qu'on regarde un film.
A revoir aussi : le son. Les haut-parleurs qui bordent de chaque côté le petit écran (7 pouces/ 17,78 cm de diagonale) ne sont pas seulement disgracieux, ils sont aussi peu efficaces. Le rendu sonore n'est vraiment pas agréable et il est donc conseillé d'utiliser un casque.
Excellent ordinateur d'appointCertes, en tant qu'ordinateur principal, l'Eee apparaît trop limité mais il fait figure d'excellent ordinateur d'appoint, pour l'utiliser en déplacement ou comme PC secondaire à la maison. Il peut s'avérer bien pratique pour consulter rapidement ses mails en Wi-Fi dans son lit le soir avant de s'endormir ou pour regarder un film dans le train. Et son prix réduit fait que l'on n'aura pas trop de scrupules à le trimbaler partout.

Friday, January 18, 2008

Bibliothécaire et documentaliste , je tiens à vous signaler l'existence d'un site de première main les infostratèges de Didier Frochot, juriste et documentaliste.

Ce site est dédié à l'actualité informationnelle et à ses problématiques juridiques françaises. 7 grandes rubriques générales donnent des informations concernant : "Internet", "le management de l'info"," la veille", "le droit de l'info"," l'offre" (des producteurs du site), "les dossiers spéciaux",et les "publications".

C'est un site de référence en information documentation. ( infos pertinentes et source fiable ).

L'EEE PC est arrivé, ohé ohé!

Pour tous ceux qui n'auraient pas déjà décidé de craquer pour le MacBook Air, son design, sa légèreté, son autonomie, son unique port USB et son port Ethernet inexistant à 1800 euros (avec tout plein d'accessoires en option), l'Asus EEE PC est disponible en précommande sur les sites de LDLC et Matériel.com. Enfin, je veux dire était disponible en précommande mercredi. En effet, ce n'est plus vraiment le cas, malgré la limitation à un EEE PC par client.

Pour rappel, l'EEE PC replié est grand comme une feuille A5 et coûte 300 euros et pèse moins d'un kilo. Malgré sa taille, il possède un port Ethernet et 3 ports USB. Vous pouvez trouver tous les détails dans le test en trois parties de l'EEE PC sur blogeee.net (1; 2; 3). Certes, ces deux machines jouent dans des catégories différentes. Mais malgré toutes ses qualités, le MacBook Air possède des défauts peu compatibles avec son tarif. Au contraire, on pardonne facilement les défauts de l'EEE PC justement à cause de son prix.

Personnellement, je pense qu'Apple va corriger le tir quand ils verront les réactions du public. On aura peut-être également droit à une baisse de tarif. D'ici là, investir dans un EEE PC permettrait de patienter, à partir du moment où Asus met fin aux ruptures de stock.

Tuesday, January 15, 2008

Validation du Suivi Laboratoire

Bonjour à tous,

Etant donné que notre système de "veille par semaine" n'a pas donné des résultats fulgurants voilà une nouvelle modalité pour valider le suivi laboratoire : nous vous demandons de poster un certain nombre de nouvelles (cinq = 5) sur notre blog d’ici mi-février. En regardant le degré d’activité sur le Web, cela ne devrait pas être un problème.

Concernant le contenu, vous pouvez mettre des actualités d’ordre général ou des éléments qui relèvent de vos recherches dont vous pensez qu’il pourrait porter un intérêt pour les autres…

Bon courage !

Friday, January 11, 2008

Spock, un nouveau moteur pointe ses oreilles

Un article de libération sur les possibilités d'augmenter le contrôle social par des technologies (de) (l ') information et de renseignement

Le nouveau moteur de recherche à la mode s’appelle Spock, et il se veut bien différent du géant Google. Ouvert au public depuis hier, Spock, qui malgré son nom, ne cultive aucun rapport avec l’extraterrestre aux oreilles pointues de la série Star Trek, a pour unique ­finalité la recherche de personnes. Concrètement, le site regroupe des données personnelles sur les internautes, en s’appuyant sur les contenus mis en ligne sur les réseaux sociaux comme Myspace et Facebook, très prisés par les adolescents et les étudiants.

voir l'article de Libé

Sunday, January 6, 2008

GoPubMed, nouvel outil de scientométrie

via Affordance.info

" GoPubMed (...) permet, sur la base d'une recherche de faire émerger des "réseaux sociaux" à partir des noms d'auteurs d'articles et de leurs adresses de courier électronique (Via Cismef). En fait, plutôt qu'un réseau social (ce qui est l'argumentaire marketing du lancement de ce nouveau service), c'est bien de scientométrie qu'il s'agit, c'est à dire de la capacité, via un moteur sémantique, de repérer des collaboratoires, des "collèges invisibles", et de cerner en un instant sur un thème donné, l'état des publications en la matière et les chercheurs les plus en vue. Exemple : en entrant le terme "stuttering" (bégaiement) et en cliquant (à gauche dans la rubrique "What") sur "Hot topics", vous visualisez :
  • un "top 20" des auteurs ayant le plus publié sur le sujet
  • un "top 20" des publications classées par pays
  • un "top 20" des journaux dans lesquels on trouve le plus de publications en rapport avec le bégaiement
  • une courbe temporelle vous permettant de visualiser la progression (ou le recul) du nombre de publications par an sur ce sujet
  • une visualisation sous forme de graphe des réseaux de collaboration entre auteurs (répondant à la question "qui publie avec qui ?")"